Les formes de la Province de Boulemane, contrairement à celles de la région de Goulmima, semblent être identiques aux formes vénézuéliennes (Renz, 1982), même si l’absence de lignes de sutures ne permet pas de définitivement reconnaître les adultes.

P. obscurus, au Venezuela comme au Maroc, cohabite avec Vascoceras venezolanum. Au Nigéria, elle reste rare et s’étend de l’horizon à gongilensis jusqu’à l’horizon à wallsi.
Espèce très polymorphe dont la variabilité porte essentiellement sur l’épaisseur de la coquille et la vigueur de l’ornementation, de manière classiquement correlée. P. obscurus entre dans le spectre des nombreuses formes vénézueliennes décrites par Renz (1982) sous différents noms d’espèces considérés comme des synonymes mineurs. [Courville, 1993]
Barber (1957) définit "Vascoceras" obscurum comme un "Vascoceras" à coquille involute comprimée, ventre déprimé dans les tours internes et côtes persistant sur le ventre jusqu’à un stade de croissance avancé.

Le morphe difficilis est de taille moyenne et d’épaisseur modérée, maximale au niveau de bullae ombilicales, d’où partent des côtes radiales mousses, larges, disposées irrégulièrement et séparées par une à trois côtes intermédiaires, augmentant généralement en longueur avec la croissance. Toutes traversent la région ventrale radialement. Les flancs convergent vers un ventre arrondi.

Individu silicifié de l’assemblage à Vascoceras venezolanum, "Nannovascoceras", Wrightoceras/Hoplitoides, Kamerunoceras, Pseudoneoptychites et premiers Mammites gr. nodosoides. Les formes de la Province de Boulemane, contrairement à celles de la région de Goulmima, semblent être identiques aux formes vénézuéliennes (Renz, 1982), même si l’absence de lignes de sutures ne permet pas de définitivement reconnaître les adultes.

P. obscurus, au Venezuela comme au Maroc, cohabite avec Vascoceras venezolanum. Au Nigéria, elle reste rare et s’étend de l’horizon à gongilensis jusqu’à l’horizon à wallsi.
Espèce très polymorphe dont la variabilité porte essentiellement sur l’épaisseur de la coquille et la vigueur de l’ornementation, de manière classiquement correlée. P. obscurus entre dans le spectre des nombreuses formes vénézueliennes décrites par Renz (1982) sous différents noms d’espèces considérés comme des synonymes mineurs. [Courville, 1993]
Barber (1957) définit "Vascoceras" obscurum comme un "Vascoceras" à coquille involute comprimée, ventre déprimé dans les tours internes et côtes persistant sur le ventre jusqu’à un stade de croissance avancé.

La forme andinus (=P. andinus Leanza, 1967) regroupe les coquilles les moins épaisses de l’espèce, à costulation gracile, involutes, à petit ombilic et tours hauts. L’épaisseur maximale reste atteinte au niveau des bullae ombilicales. Les flancs sont légèrement convergents. Des côtes primaires mousses et larges prennent naissance au niveau des bullae ombilicales et sont séparées par une à trois intercalaires naissant à des hauteurs variables. Toutes traversent le ventre en se renforçant.

Grand phragmocône légèrement déformé de la zone à rollandi. Les formes du Turonien inférieur de la région de Goulmima sont encore cloisonnées à un diamètre où les formes vénézueliennes (Renz, 1982) ou nigérianes (Courville, 1993) sont adultes. Elles semblent affectées d’une hypermorphose. C’est pour celà que j’applique un "aff.". Je n’ai pas encore reconnu la forme adulte correspondante. Y’a-t-il convergence avec les Neoptychites str. s. ?

P. obscurus, au Venezuela comme au Maroc, cohabite avec Vascoceras venezolanum. Au Nigéria, elle reste rare et s’étend de l’horizon à gongilensis jusqu’à l’horizon à wallsi.
Espèce très polymorphe dont la variabilité porte essentiellement sur l’épaisseur de la coquille et la vigueur de l’ornementation, de manière classiquement correlée. P. obscurus entre dans le spectre des nombreuses formes vénézueliennes décrites par Renz (1982) sous différents noms d’espèces considérés comme des synonymes mineurs. [Courville, 1993]
Barber (1957) définit "Vascoceras" obscurum comme un "Vascoceras" à coquille involute comprimée, ventre déprimé dans les tours internes et côtes persistant sur le ventre jusqu’à un stade de croissance avancé.

La forme andinus (=P. andinus Leanza, 1967) regroupe les coquilles les moins épaisses de l’espèce, à costulation gracile, involutes, à petit ombilic et tours hauts. L’épaisseur maximale reste atteinte au niveau des bullae ombilicales. Les flancs sont légèrement convergents. Des côtes primaires mousses et larges prennent naissance au niveau des bullae ombilicales et sont séparées par une à trois intercalaires naissant à des hauteurs variables. Toutes traversent le ventre en se renforçant.

Phragmocône de la zone à Rollandi. Les formes du Turonien inférieur de la région de Goulmima sont encore cloisonnées à un diamètre où les formes vénézueliennes (Renz, 1982) ou nigérianes (Courville, 1993) sont adultes. Elles semblent affectées d’une hypermorphose. C’est pour celà que j’applique un "aff.". Je n’ai pas encore reconnu la forme adulte correspondante. Y’a-t-il convergence avec les Neoptychites str. s. ?
Individu figuré dans Fossiles du Maroc - Volume 2a (Lebrun 2020) sous le nom erroné de Nannovascoceras intermedium RENZ. La confusion tient au fait que Renz a créé les taxons Pseudoneoptychites intermedius et Nannovascoceras intermedium dans la même publication. Ce n’est clairement pas un Nannovascoceras.