Douvilleiceras sp. |
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Albien (-108 à -96 millions d'années) moyen
Aube - France
Diamètre = 7 cm (2.76")
Epaisseur à l’ouverture = 3,9 cm (1.54")
Douvilleiceras de Grossouvre 1894
Albien inf. à moy.
Côtes d’abord non divisées, à forts tubercules ombilicaux et latéro-ventraux, puis porteuses de nombreux tubercules, uniformes ou pas, et finalement atuberculées. Macroconque de taille assez grande et quasi-lisse sur les derniers tours.
Douvilleiceratinae Parona & Bonarelli 1897
Aptien sup. à Albien moy.
Au stade jeune, les côtes portent des tubercules ombilicaux, latéraux et latéro-ventraux comme chez Epicheloniceras. Puis, elles deviennent multituberculées. Chez certaines espèces, les tubercules sont très proéminents. Strigation usuelle, disparaissant plus ou moins tôt dans la croissance pour finalement laisser des côtes franches sur les tours externes.
Douvilleiceratidae Parona & Bonarelli 1897
Barrémien sup. à Albien moy.
Dériverait probablement des Peirescinae, Bert & al. 2006 (Hemihoplitidae, Spath 1924) selon les auteurs de cette sous-famille.
Formes évolutes. Tours déprimés à circulaires ou polygonaux. Côtes fortes à combinaisons variées de tubercules ombilicaux, latéraux et latéro-ventraux. Sutures cloisonnaires à selle latéro-externe massive et large lobe latéral divisé en deux lobes.
Douvilleiceratoidea Parona & Bonarelli 1897
Ancyloceratina Wiedmann 1966
Ammonoidea Zittel 1884
Cephalopoda Cuvier 1797
Mollusca Linnaeus 1758
Bilateria: Protostomia Hatschek, 1888: Grobben 1908
Eumetazoa Butschli 1910
Animalia Linnaeus 1758
Eukaryota Whittaker & Margulis 1978
2010. Courville, P. & Lebrun, P.
L’Albien (Crétacé) de la région de Troyes (Aube) et ses ammonites : Hoplitidae et Douvilleiceratidae
in Fossiles, revue française de paléontologie - No 4 - Editions du Piat
p 28, pl 6D-E (=Douvilleiceras sp.)
Contenu révisé le 1er janvier 2024 - Fiche générée le 7 février 2024 - 1ère publication le 1er septembre 1998
Espèce du groupe mammillatum, de niveau stratigraphique élevé (argiles c1 de Courcelles, zone à Dentatus), laissée en nomenclature ouverte (Courville, 2010).
Petits Douvilleiceras apparemment adultes à phragmocône pyritisé et chambre phosphatée, peu déprimées. Ornementation dense de 25 à 26 côtes très étroites moins larges que les espaces, dès 25 mm environ. Il peut exister des côtes plus faibles que les autres, induisant une certaine irrégularité de l’espacement. La rangée latéro-ventrale interne de tubercules est située à mi-hauteur, plus haut que chez D. mammillatum. L’ombilic est plutôt ouvert, avec un mur oblique et non vertical. [d’après Courville 2010, modifié : (note sur l’interprétation des tubercules de Douvilleiceras)]